Il était une fois pour dire enfin qu’une foire maline débutante hostile car quatre au four soient sages et pour finir montre-lui jadis qui a perdu son chagrin néfaste mais n’ira jamais trop loin au soir de la terre incendiée et du socle qui l’entoure sans aucune raison affamée mais sereine ne sortira plus d’un câlin couvert de honte liberté fâchée trop salée offre toi à lui au moins car modestie mise au pas du regard tamisé et d’un plat nu ôtes lui du doux cirage signé plumage panaché avant même de siffler sans prononcer la flamme du suzerain jadis des champs être si beau de tête comme l’ivresse l’emporte au feutre s’il y a moi et bien marche droit trois guenilles froissées hérisson ferme-t-il et garde à sang tout de toi pour du mensonge erroné pour une poignée de filament dilué assagit par le don de la peur et rit s’il faut tarder et nuire à sa faim du tort à retour ambigu si jamais ça même de retard soit amorçons les amarres au poil pile de l’enchanteur déçu ne jamais revenir mélangé par dégout et fournir sa demeure insolite exquise au Fernandel de demain sur le dos d’Anne enfermée dans sa chambre pleurant du donjon de sa vie tu oses de l‘aube du souci de plaire a qui en vingt ans dit Arlequin que massacra Jeanne à points nuancés de misère tous à la portée du poète de toute sa langue quoi fourbu fourche des orages célestes bizarrement fracassés du silence coincé des urnes et lui c’est lui qui moribond aux quatre fers blessé dont la proie supplice cadran abscons ou indigence par égard à genoux sans dangerosité cumulée notoires dans les vagues des siècles pour plaisirs sans noms du pharaon décalé subissant l’existant moite ces disciples fiévreux vassalité abrogée et humble d’ivresse tu dis pute tout encombrante de la nausée au siège des astres sans faire des lumières se faisant taire au ciel de l’asile au psychédélique abattre anthologie suprême pour éclater du sordide esclavage au sang froid frisant la peau du destin sans famine exécrable dauphin d’orgueil voluptueuse ornement du jadis crépuscule idolâtre de mordu infâme trésor malfaisant de l’aumône au vouloir pathétique art déco verte ou originelle nez curieusement à la prime et surtout au cheval à trois fois son rival de foi exaltée et fini l’auberge extatique de l’état d’où brandissant l’occultisme a voulu son truc sécher l’avis d’un curé hâter mécréant pêcheur ligne brisée à viser le carrosse au bois dormir sur le sommeil princier de la nouvelle ère sortilège outrancier mal me scier l’orifice étranger pavoisé d’or succulente fraise ramène des rois autant jouer au cirage du temps qui endort cavalerie des enfers sucre d’orge mauricien tu lui asservis en marée danse au pluriel un certain horizon divulgué et puis d’un sommeil lointain dira-t-on de lui venu pour tenter d’y voir l’éléphant vide de roses ses moments tendres respect de passés écrasés par la mouche océane douce mère des silences bruyants des sentiers de pavés dois-je m’affliger du point mort des espaces noirs narcissiques ciseaux circonspect je marche à la cadence déroché fini jouissance vilénie englouti dans les mers interminables étoiles aux stratagèmes stériles fécondateurs des pirateries du bof frais breuvage d’un jour du zéro siroté sang de Judée…
© 2019 Philippe Benichou
